Le réveil à 4 heures sonne le départ d'un marathon que l'on sous estime encore... Mais la banane est là, sur la tronche de Pierre, qui vient de renverser tout son lioph dans sa polaire et qui s'est rendu compte il y a peu que sa frontale marchait pas ! Ou sur celle du goguenard Détrie, comme un enfant qui va faire une bêtise..
La redescente du couloir des Avalanches est déjà bien sordide. Grosses accumulations dans ces pentes raides. On brille pas en solo dans ce piège. A la fois l'aube qui se lève révèle la présence du Fifre, cette montagne intrigante et si raide qui borde le couloir. Même si on a déjà connu un endroit plus zen, je me sens bien ici! Avec les deux renards j'apprends beaucoup comme dirait un mauriennais sponso Nespresso... What else ?